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10 juin 2009 3 10 /06 /juin /2009 14:11
Tu t’appelais Sophie, Véronique ou Hélène
Semblais un arc tendu, et prêt à décocher
Des traits inutiles, des paroles vilaines
Comme un oiseau blessé, bec et griffes défendant
Des valeurs obsolètes, les ombres du néant

Solitaire Martine, Nathalie ou Hortense
Dans l’absolu cérébral tu puisais ta jouissance
À manipuler des concepts, bâtissais ta puissance
Échafaudant ainsi un mur de silence
Autour de ton Toi, ta vie, tes tripes, tes sens

Que tu sois Christine, Diane ou Marie-Ange
Un beau jour te revient comme un désir d’enfance
De retour en ces moments merveilleux de croyance
Comment retrouver ces instinctifs instants ?
C’est simple, te dis-tu, en faisant un enfant

Vois-tu Agnès, Louise, Rebecca ou Clémence
Hélas l’enfance ne parle qu’à l’enfance
Au discours cérébral le bébé est un sourd
Ne peut même commencer un début d’existence
S’il ne sent terrain à semer son amour

Car tu sais, Françoise, Claudia ou Évelyne
Le bébé existe avant d’être mis en œuvre
Son instinct le conduit à faire sa peau, ses tripes
Dans la matrice de celle qui enfin se décrispe
Aimera en elle le let go bienfaiteur

Alors, Blandine, Johanna ou Marion
Dans la vie si on veut être un véritable hôte
L’on doit de l’invité se mettre au diapason
La mouche en un bocal prisonnière se blesse
Son vol de liberté assure la fertilité



Octobre 1989
Tous droits réservés par
Catherine Rousseau
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6 juin 2009 6 06 /06 /juin /2009 22:11
Voici le mail que j’ai reçu de Kari (voir l'article Nous Sommes nominées):

« merci, mes amis.
 
la ceremonie des recompenses s'est tres bien passee lundi soir:  j'ai appris que "Nos Mots" a bien gagne le prix pour L'Album de l'Annee dans Motif Magazine.
 
on me dit que j'ai eu entre 5,000 et 7,000 votes, et c'est donc grace a vous qui avez vote pour moi, et je vous remercie infiniment du soutien.
 
voici une photo prise lundi soir (ils m'ont promis de corriger le titre de l'album et puis reimprimer l'affiche).
 
Kari »




Voici le lien du site du magazine en question. (taper Kari dans le moteur de recherche)
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3 juin 2009 3 03 /06 /juin /2009 08:56
Et on se demande ici et là si il eût été pertinent que la reine d'Angleterre Elisabeth II fût invitée le 6 juin, au 65e anniversaire du débarquement des alliés en Normandie, par le gouvernement français.

Ha ben pour quoi faire?
C'est qui celle-là?

Ouah, une vieille barbonne qui sert qu'à montrer ses modèles de chapeau sans vouloir lâcher la rampe au profit de son fiston!

Et quand bien même?

Nos petits trouducs du gouvernement, à commencer par leur chef suprème, n'ont même pas capté qu'elle était le chef d'État du Royaume-Uni!

Alors que nos dits crétins franchouillards n'étaient même pas sortis des couilles de leurs pères, Élisabeth, elle, avait 18 ans, et elle se souvient.

Elle se souvient que chez les alliés, il n'y avait pas que les Américains. Il y avait aussi les Canadiens. Et les Anglais.
Lesquels Anglais en ont fait
encore plus que les autres.
Ils ont hébergé les Forces françaises, les ont nourries, vêtues, armées, habillées, entraînées. Ils ont été le lien permanent pendant toute l'Occupation avec la France, permanent et réel. Les avions qui survolaient notre sol et envoyaient des armes, des hommes, des munitions, qui les a envoyés?
Sans oublier ce qu'ils ont souffert sur leur propre sol.

Donc l'Angleterre a eu un rôle plus que prépondérant, non seulement au Débarquement lui-même, mais bien en aval.

Mais le hic est que nos "responsables" du gouvernement, en guise de leçon d'Histoire, ont pour seule source culturelle la chanson de Sardou: "Les Ricains".

Bayrou est persuadé que Nicolas Sarkozy voulait "être seul avec Obama" sur la photo souvenir. Je ne suis pas loin de lui donner raison.

Vous me direz, depuis deux ans, les Français ne sont plus à ça près dans l'exponentielle de leur image de minables sur la scène internationnale.

N'oublions pas que, du temps de Busch, nous avions du mal à imaginer qu'il existât des Américains intelligents - et malheureux. Nous avons pris la relève...
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1 juin 2009 1 01 /06 /juin /2009 18:06
Disparition d'un Airbus d'Air France entre Rio et Paris avec 228 personnes à bord.

Le président français Nicolas Sarkozy, qui devait se rendre dans l'après-midi au PC de crise à l'aéroport de Roissy, près de Paris, a exprimé sa "très vive inquiétude", et demandé au gouvernement et aux administrations concernées "de tout mettre en œuvre pour retrouver la trace de l'avion".



OUF!
Ha ben heureusement que not' président,
y veille au grain, hin.

Passeque ça se trouve, les autres,
y zy auraient point pensé.
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4 mai 2009 1 04 /05 /mai /2009 23:01
Il est des Rockfeller
Arrivés à des sommets
Que nul mortel n’ose croire
Il est des chanceux
Ayant gratté les bonnes cases
Se retrouvant millionnaires

Y a les fils à papa
Héritant de royaumes
Indus et en péril
Y a des fonctionnaires
Attendant le treizième mois
Et les primes à rien faire

Mais tous ces gens-là
Je ne les envie pas
Jamais ils n’auront
La fortune que j’ai
Involable
Non imposable

Qu’importent les banques
Les traites et les manques
À gagner
Les erreurs
En notre faveur
Mon seul créditeur
C’est toi

Je possède des tonnes d’or
Quand je plonge dans tes yeux
La soie me caresse
Quand ta peau touche ma peau
Le plus beau des diamants
Gît en ton coeur

Le sais-tu ? Tu es
L’homme le plus riche du monde
De ce fait, je suis
Femme la plus riche du monde
Cette richesse-là
Ils ne nous l’ôteront pas

Septembre 1995
Tous droits réservés par
Catherine Rousseau
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28 avril 2009 2 28 /04 /avril /2009 12:50

Allez hop, la vache a refait du lait!
Ha cette belle vignette manquait sur vos pare-brise, avouez!

Elle va être pour qui cette fois-ci, hin?

Parce que, avant, c'était pour les vieux (en ont-ils vu la couleur?), maintenant ils ont le lundi de Pentecôte (qui est, comme chacun sait, le jour où l'Esprit Sain descendit sur les têtes....)

Bon alors le concours est open, à qui trouvera le récipiendaire des recettes de cette vignette bis.
Allez savoir, ça se trouve c'est pour payer la garden party du 14 juillet.... (qui est, comme chacun sait, le jour où des têtes descendirent...)
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22 avril 2009 3 22 /04 /avril /2009 14:39
Qui "nous"?
Kari Tieger et moi.
J'explique.
Kari Tieger est une Américaine francophone -et phile- que j'ai connue il y a plusieurs années sur internet.
Elle est auteur compositeur interprète et est très appréciée dans certains cercles américains.

Vous en saurez plus sur elle sur son site (*) et son myspace.

Bref, il y a 5 ans, elle est venue en France, ce qui nous a enfin donné l'occasion de nous rencontrer.

Elle y a enregistré un single, Pas de deux, comportant deux chansons, Un Ange chante et Brouillard, dont j'ai écrit les paroles et Kari la musique.

Puis, en 2008, les chansons de ce single se sont retrouvées dans le CD Nos Mots, dont toutes les chansons sont écrites par des amis français de Kari, dont les deux précédemment citées plus Poker, poker, pour ne citer que mes oeuvres.

Kari vient de me mailer la nouvelle suivante:
notre album est nominé pour l'Album de l'Année dans un journal d'arts et musique.

Que pouvons-nous faire?
Voter pour cet album avant le 7 mai!

Comment?

Aller là.

Cliquer sur continue to music ballot.

Dans album of the year, sélectionner Kati Tieger: no(s) mots. (zont pas mis le S, ces Ricains..)

Ensuite en bas, continue, continue, remplir le petit questionnaire et hop.

FAITES PASSER!!!



Ha on peut aussi voter sur la deuxième page (après le 1er continue), dans la catégorie Live act of the year, pour Shryne (c'est le groupe du fils de Kari).

(*) Franchement, mes chevilles avaient enflé en lisant les critiques et commentaires en bas:


"
A definite highlight of the CD is “Un Ange Chante” (An Angel Singing), lyric from a free verse poem by Catherine Rousseau.  I could quote the whole thing. It’s reminiscent of “Nothing At All” by Allison Krauss"

"
I especially enjoy your Faure-esque harmonic twists in "Un ange chante", and the lyrics in "Brouillard."

"Too soon to define more specific impressions, except to say I was especially taken with track 4, Sois La Pour Moi...and Sonate D'Automne, both tracks :)...and of course, Un Ange Chante..."
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19 avril 2009 7 19 /04 /avril /2009 14:30
C’était en juillet 2004
Non, pas l’année de la canicule, mais l’année d’après.
Tout le monde se souvient que cet été-là a été un été pourri.
Mais je me souviens très bien que les tout premiers jours de juillet 2004, il sévissait une canicule digne de l’année précédente (ok… ça a foiré ensuite…).
Garance, qui allait sur ses dix ans, était dans le jardin avec des copines à elle, batifolant dans la piscine.
Arrive un gamin, un pote à elle, avec sous le bras un carton.
Il explique : « Voilà, je les ai trouvés dans le fossé du champ derrière chez ma grand-mère, alors je fais le tour du village pour voir qui en veut. »
Dans le carton, deux minous, âgés manifestement de deux mois. Des genre Félix, noir et blanc.
Ne sachant si j’avais affaire ou non au genre sauvage pas sociabilisé à l’Homme, j’en attrape un prudemment par la peau du cou… Je n’avais jamais vu ça ! Il pendait comme une vieille serpillière. Quand je l’ai reposé, le pli est resté longtemps marqué… Idem pour le second. J’interdis au gamin de continuer sa tournée (il s’est mis en slip et a piqué une tête dans la piscine), et me suis occupée des chatons.
D’abord un bol d’eau.
Ils sont restés totalement inertes, avachis devant cette eau salvatrice : ils n’avaient plus la force de boire… Jamais vu une déshydratation pareille ! Une heure de plus à ce régime et ils étaient foutus ! J’ai pris une pipette et les ai « gavés » d’eau. Ils ont commencé à reprendre de la force.
N’ayant pas de croquettes pour chatons mais pour chats adultes, je leur ai mouliné la recette « premier repas » pour tout petits chatons, à savoir j’ai ramolli les croquettes dans l’eau puis les ai moulinées avec du fromage blanc.
Ne sachant pas leur passé, je ne savais pas s’ils avaient la notion de « gamelle ». Ils ont tout mangé, preuve que, 1 – ils avaient repris du poil de la bête question énergie, 2 – ils savaient ce qu’était une gamelle.
Quand je leur ai proposé la caisse de litière, ils y sont allés sans problème, preuve qu’ils avaient déjà connu ça.

Comme, de plus, ils n’étaient pas agressifs pour un sou, j’en ai conclu qu’ils avaient été élevés dans une maison humaine.
Ha mais oui, mais t’as la minette qui fait des petits (des Européens, genre quelconque, ça se vend même pas…) en mai. On en refile 2 à 4 (une portée peut au moins aller jusqu’à 6), et t’as deux corniauds qui restent sur les bras alors qu’on part en vacances !
Et ben hop, allez, on les fout dans le fossé en pleine cagna.
C’est vrai quoi, au lieu d’aller dépenser quelques euros pour que le vétérinaire fasse une euthanasie propre à la naissance de chatons non désirés (ha ben on n’avait pas fait opérer la mère non plus, hin…), autant les faire crever d’une mort lente et douloureuse.
C’est plus humain non ?

Toujours est-il que me voilà avec les deux minous.
La Gipsy (qui est décédée de vieillesse il y a un an à l’âge de 17 ans) n’étant pas trop partageuse de son domaine, il était pour moi exclu qu’ils restent chez nous.

Les voici une dizaine de jours après leur arrivée.

 
Les frelots…
C’est Laureline, ma fille aînée, qui a trouvé un premier adoptant,
chez un voisin de son père.
Le premier minou parti dans son nouveau foyer, Garance me dit : « On ne donne pas l’autre, on le garde. »
Gipsy ayant fait comprendre, gentiment –ce qui m’a étonnée– mais fermement –ce qui m’a moins étonnée– aux petits que c’était elle la patronne et qu’ils lui devaient le respect, je ne craignais plus de violence de sa part. C’était donc d’accord.
Comme c’était l’année des A, nous l’avons appelé Arsouille.
Celui qui a été donné (je ne me souviens plus du nom qui lui a été attribué), le haut de sa tache sur le front est ovale,
alors que celui d’Arsouille est en pointe.
Une colombe plus grosse que moi : même pas peur !
Arsouille a le bout de la queue blanc.
Pendant sa première année, il tétait ce bout de queue,
elle offrait un blanc lavasse jaunâtre.
Maintenant il est redevenu bien blanc.
Que du malheur…
 Câlin avec Garance. 
Garance l'a habitué  à quelque chose que je n'aurais pas même imaginé: il répond au sifflet! Elle siffle, il arrive...
À l'age d'un an, il zappe…
   
Son grand plaisir
est de stationner
sur le bord de la piscine.
Là, il y a la bâche d’hiver. Sinon, il a souvent le bout de la queue qui trempe dedans.
De temps en temps,
il la relève, l’air de dire :
« Tiens, je sens quelque chose…»,
et la laisse retomber aussitôt.
Un quart d’heure après,
il sent à nouveau quelque chose et la relève mollement à nouveau…
 
 

Je pose...

 

 

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16 avril 2009 4 16 /04 /avril /2009 23:51
Y a pas d'soirée parfaite
Y a toujours un pépin
Toujours un trouble-fête
Y a toujours un crétin

Y a toujours un caniche
Qui parle en espagnol
Qui t'fournit en alcool
Pour t'emmener dans sa niche
Y a toujours un nerveux
Qui t'renverse ton drink
Y a toujours un curieux
Qui d’mande : « C'est quoi ton signe ? »

Y a pas d'soirée parfaite
Y a toujours un pépin
Toujours un trouble-fête
 Y a toujours un crétin

Une ‘tit tête de linotte
Qui t’rote en plein visage
Les dents peines d'échalotes
Et de crottes au fromage
Y a toujours un raseur
Une tête à pellicules
La bouche en tentacule
Qui t'embrasse aux demi-heures

Y a toujours un mon’oncle
Qui peigne sa calvitie
Y a toujours un jeune punk
Qui s'brandit le squeegee
 Y a toujours un gorille
 Avec une gueule de tueur
Qui vient de d’mander l'heure
Avec une petite voix d'fille

Y a toujours un épais
Les deux p’tits yeux tout croches
Les deux mains dans les poches
Qui s'brasse la monnaie
Toujours un philosophe
La gueule remplie d'questions
La gueule bordée d'boutons
Mais pas d'boutons on-off

Toujours une tête enflée
Qui pue l'cigare cubain
Qui s'amuse à r’tourner
Toutes les bouteilles de vin
Toujours un obsédé
Qui est là, qui s'casse la nuque
Assis dans l'escalier
Pour voir en d’sous des jupes

Y a toujours un vieux riche
Une haleine de fond d'tonne
Qui est là qui t'postillonne
Ses p'tits restants d'sandwichs

Non, y a pas d'soirée parfaite
Y a toujours un requin
Toujours un malhonnête
Y a toujours un crétin

Y a toujours un colon
Qui défile les farces plates
Toujours un cabochon
Qui veut t'tirer aux cartes
Non, y a pas d'soirée parfaite
Y a toujours un radin
Toujours un pique-assiette
Y a toujours un crétin
 
Paroles et musique Lynda Lemay
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15 avril 2009 3 15 /04 /avril /2009 17:06
Y en a toujours un plus coincé qu' ses compères
Un moins souriant, plus zélé, plus sévère
Y en a toujours un que l' pouvoir, y s'en sert
Pour faire chier les gens, pour l' plaisir de déplaire

Y en a toujours un, tous métiers confondus
Un moins conciliant pour une p'tite permission
Y en a toujours un plus serré du p'tit cul
Qui s' veut important, qui veut jouer au patron

Toujours un, quand on pose une question
C'est jamais oui, c'est radicalement non
Toujours un, et parfois c'est celui
Qui érige nos lois, dirige nos pays

Toujours un, à l'école ou ailleurs
Un p'tit malin, un parfait du "par cœur"
Toujours un qui a pas l'air d' nous aimer
Qui veut bien qu'on lui lèche les pieds

Y en a toujours un plus vilain, plus coriace
Même si on fait rien, le crétin, y menace
Qu'y soit douanier ou chef de cabine
Ou bien flic, on en trouve toujours un qui s'obstine

Un prof à qui on d'mande d'aller aux toilettes
Qui nous dit d'attendre en espérant qu' ça coule
Devant les copains qui vont s' payer not' tête
Pour le restant de nos vies, c'est pas cool, c'est pas cool !

Toujours un, quand on pose une question
C'est jamais oui, c'est radicalement non
Toujours un, et parfois c'est celui
Qui érige nos lois, dirige nos pays

Toujours un, à l'école ou ailleurs
Un p'tit malin, un parfait du "par cœur"
Toujours un qui a pas l'air d' nous aimer
Qui attend rien qu'on lui lèche les pieds

Y en a toujours un plus borné, plus raciste
Un qui nous poursuit même quand y décède
Qu'on s' sent obligé d'assister au service
D'embrasser sa femme qui est moins triste que laide

Y en a toujours un qui appelle la police
Dès qu'on touche à un petit ch'veu d' sa haie d' cèdres
Toujours une vendeuse ou une réceptionniste
Qui pousse un soupir quand on lui d'mande de l'aide

Toujours un champion d'équitation
À cheval sur ses petits principes
Toujours un qui passe pas le ballon
Un p'tit con qui joue pas pour l'équipe

Heureusement qu'en fouillant les foules
Y a bien moins de cons que de cools !
Heureusement qu'y en a qui ont des couilles
Du jugement et d' sacrées bonnes bouilles !

Ceux qui vont nous dire que l'on a du talent
Qu'on a de l'avenir, heureusement qu'y a les grands
Les vrais messieurs qui se prennent pas pour des rois
Qui s' prennent pour eux et on les aime pour ça

Par chance qu'y a tous ceux qui nous font des sourires
Quand on frappe un creux mais qu'on pourrait faire pire
Ceux qui tendent la main sans rien attendre en r'tour
Par chance y a les potes et par chance, par chance, par chance

Qu'y a l'amour ! Oui l'amour !
Par chance, par chance
Qu'y a l'amour ! Oui l'amour !
Par chance, par chance, par chance
Qu'y a l'amour ! L'amour
Par chance, par chance, par chance
Qu'y a l'amour ! Oui l'amour !
Par chance, par chance, par chance
Qu'y a l'amour ! Oui l'amour !

Paroles et musique: Lynda Lemay
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